Eduardo Gomes était un officier supérieur de l'armée de l'air brésilienne en 1945, lorsqu'il s'est présenté aux élections présidentielles. Afin de récolter des fonds, il aurait organisé des fêtes, lors desquelles des électrices auraient eu l'idée de vendre ces confiseries, produites avec des moyens disponibles en temps de guerre (lait condensé sucré pour remplacer le lait et le sucre, par exemple).
Les confiseries auraient alors reçu le nom de "brigadeiro", pour accroître la visibilité du candidat.
Il semblerait toutefois que cette douceur ait existé préalablement, dès le XIXe siècle, lors de l'introduction massive du lait concentré sucré au Brésil.
Julia Selmi, italo-brésilienne et nantaise d’adoption, revisite les recettes traditionnelles et imagine de nouveaux mariages gustatifs pour ravir vos palais.
Après des années dans la Marketing International, je reviens à mes premières amours : la cuisine et le chocolat !
Je suis venue tout spécialement en France pour reprendre des études de Cuisine et une formation de Chocolatier. Je choisi l'artisanat pour pouvoir travailler les meilleurs ingrédients et maîtriser la qualité de mes produits.
Au Brésil, le Brigadeiro (BRE-GA-DE-RO) est synonyme de bonheur car ils sont toujours appréciés entre amis et en famille car ils partagent des moments de plaisir et de rire apportant de la joie. On les trouve également lors des anniversaires d'enfants, mais de nos jours, vous pouvez trouver des Brigadeiros avec des ingrédients sophistiqués et dans des boutiques de chocolat spécialisées à travers le monde.
j'ai envie de faire découvrir la plus populaire de ses confiseries : le Brigadeiro !
Elle ressemble à la truffe au chocolat mais se pare de mille et une saveurs.
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